Il y a urgence. À rire et à pleurer.
À aller à la rencontre de publics variés.
À s’emparer de thématiques sérieuses.
À inventer la joie et à crier la rage.
À cracher notre vulnérabilité à la face du monde.
À creuser les décalages poétiques.
À chercher des mots de joueuses et de joueurs, des mots à susurrer, à chanter, à tordre.
À ouvrir des espaces pour sortir du tourbillon.
À planter un regard là où on ne l’attend pas, à le laisser pousser, et à l’accompagner avec douceur et énergie.